Cette chanson qui clôture l'album est finalement très dans la "tradition Linkin Park". Des beats allant crescendo, une montée progressive en intensité instrumentale et vocale, de nombreux synthétiseurs que la guitare de Brad vient soutenir en fin de chanson au moment de l'envolé vocale... Mais toutefois une belle ballade qui clôt harmonieusement ce cinquième opus.
Alors qu'on s'attend à une trahison amoureuse après les deux premières paroles, il s'agit vraisemblablement plutôt ici d'une référence à la mort et à l'abandon. On remarque le réseau lexical de la mort avec "skeletons", "the crimson soaking through", et "the end"; et la répétition de "Powerless" (impuissant) retransmet bien le sentiment de fatalité et d’impossibilité d'agir, également caractéristique de la mort.
You hid your skeletons when I had shown you mine
You woke the devil that I thought you'd left behind
I saw the evidence, the crimson soaking through
Ten thousand promises, ten thousand ways to lose
And you held it all but you were careless to let it fall
You held it all and I was by your side, powerless
I watched you fall apart and chased you to the end.
I'm left with emptiness that words can not defend
You'll never know what I became because of you
Ten thousand promises, ten thousand ways to lose
And you held it all but you were careless to let it fall
You held it all and I was by your side, powerless
Powerless
« Impuissant »
Tu as caché ton squelette lorsque que je t’ai montré le mien,
Tu as réveillé le démon que je pensais que tu avais laissé derrière toi.
J’ai vu l’évidence, le rouge foncé trempant au travers,
(le rouge foncé symbolisant surement le sang)
Dix mille promesses, dix mille façon de perdre…
Et tu tenais tout, mais tu t’en fichais de le laisser tomber
Tu tenais tout et j’étais à tes côtés, impuissant…
Je t’ai vu t’effondrer et suis resté à tes côtés jusqu’au bout.
Je suis abandonné avec une solitude que les mots ne peuvent pas décrire,
Tu ne sauras jamais ce que je suis devenu à cause de toi,
Dix mille promesses, dix mille façons de perdre…
Et tu tenais tout, mais tu t’en fichais de le laisser tomber
Tu tenais tout et j’étais à tes côtés, impuissant…
Et tu tenais tout, mais tu t’en fichais de le laisser tomber
Tu tenais tout et j’étais à tes côtés, impuissant !
Impuissant !
Impuissant…
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