The Man Who Sold The World
(L'homme Qui A Vendu Le Monde)
We passed upon the stair
Nous passions sur les escaliers
We spoke of was and when
Nous parlions de quand et d'où
Although I wasn't there
Bien que je n'étais pas là-bas
He said I was his friend
Il disait que j'étais son ami
Which came as some surprise
Ce qui vint comme une surprise
I spoke into his eyes
Je lui parlais droit dans les yeux
I thought you died alone
Je pensais que tu étais mort seul
A long long time ago
Il y a très très longtemps
Oh no, not me
Oh non, pas moi
I never lost control
Je n'ai jamais perdu le contrôle
You're face to face
Tu es face à face
With the man who sold the world
Avec l'homme qui a vendu le monde
I laughed and shook his hand
Je riais et serrais sa main,
And made my way back home
Et reprenais le chemin vers la maison
I searched for form and land
Je cherchais au loin une forme et une terre,
For years and years I roamed
Pendant des années et des années j'errais
I gazed a gazely stare at all the millions here
Je contemplais d'un regard fixe tous les millions ici
We must have died along
J'ai dû mourir seul
A long long time ago
Il y a très très longtemps
Who knows ? not me
Qui sait ? Pas moi
We never lost control
Je n'ai jamais perdu le contrôle
You're face to face
Tu es face à face
With the man who sold the world
Avec l'homme qui a vendu le monde
Vos commentaires
Je suis d'accord avec Wild Child, ce mec a carrement inventé un style de musique!!!!
La reprise de Nirvana n'est pas mal non plus mais c'est un autre monde... c'est du Nirvana quoi! ^^'
C'est un peu comme une conversation avec le lui d'avant : Ils passent "ensemble" sous l'escalier (un carrefour dans sa vie), et se remémorent le passé (la période Ziggy), mais depuis ce temps, Bowie a change. Il n'est "plus là".
Ziggy lui dit qu'il est son ami (il fait la paix avec lui-même), et ça le surprend.
Il lui parle droit dans les yeux, se confronte à lui même donc, et avoue qu'il pensait l'avoir laissé en arrière (mourir seule il y a longtemps).
Il dit qu'il n'a pas perdu le contrôle, qu'il est face à l'homme qui a vendu le monde (qui a "trompé" le monde avec son alter ego).
Maintenant qu'il a fait la paix, il peut rentrer chez lui. Il a erré pendant des années à la recherche de quelque chose, et il a réussi à passer à autre chose grâce à l'expérience de Ziggy Stardust.
C'est un peu tiré par les cheveux mai
Dans cette interprétation scénique j'ai au contraire l'impression que Bowie est revenu sur sa propre interprétation en "pimpant" au passage sur celle de Kurt Cobain.
Ce n'est pas faire offense ni à l'un ni à l'autre. Les deux sont superbes. Et sa première interprétation studio aussi. C'est le droit le plus absolu d'un auteur ou même de ceux qui font des reprises de les adapter à leur propre univer du miment.
Les enfants du Pirée par Dominique A.
Les filles du bord de mer par Arno.
Etc
il nous explique aussi que nous mourons (seuls parce que nous ne savons pas regarder les autres (par millions) et que notre main se tend vers ce qu'il nous apparaît rester pour nous y accrocher et il dit que lui a vu clair dans cet échiquier (son côté mégalo), qu'il n'a jamais voulu rencontrer ce genre de personnage et qu'il "n'a jamais perdu le contrôle" de ce qu'il a toujours été
Bowie est surpris et amusé par ce personnage tel pinochio qui a son propre parcours, Bowie le quitte et rentre chez lui mais ne trouve pas le chemin , il cherche un pays et erre sans trouver, puis se met à fixer tout ces millions, d'où viennent-ils, serait-ce lui l'homme qui vend le monde, il se dit d'ailleurs qu'il a du mourir seul comme il le disait de son alter ego au début de la chanson et puis il insiste sur le doute who knows not me, il ne sait plus qui il est et enfin il a fusion entre Bowie et son peronnage puisqu'il utilise "WE never lost control", et c'est à son tour de dire de qu'il est l'homme qui a vendu le monde, Voilà un autre point de vue , qu'en pens