Je chantais mes peines, sur le banc d'la cité
Je rĂȘvais de Paris et d'en faire mon mĂ©tier
Et quand venait l'été, je traversais la mer
"Faut savoir d'oĂč tu viens, mon fils", comme disait mon pĂšre
Je chantais dans ma chambre, j'avais fermé la porte
Je criais mes démons, que le diable les emporte
Et quand venait l'été, je traversais la mer
"Andiamo in macchina", comme le disait ma mĂšre
Comment c'est chez toi, mon frĂšre ?
Pas si différent, mon frÚre
Je t'aime, mĂȘme si j'en ai pas l'air
Mais c'est mieux quand t'es lĂ
Beaucoup mieux quand t'es lĂ , mon frĂšre
Comment c'est chez toi, mon frĂšre ?
Pas si différent, mon frÚre
Je t'aime, mĂȘme si j'en ai pas l'air
Mais c'est mieux quand t'es lĂ
Beaucoup mieux quand t'es lĂ , mon frĂšre
Les boulevards effrayants, les pavés de Clichy
Le petit menuisier accompagné de ses amis
Et si c'était là -bas, que je crierais mes démons
Qu'on se retrouvera tous les deux, Ă faire les cons
C'Ă©tait la derniĂšre chance, un dernier rendez-vous
Les rĂȘves, c'est fatiguant mais moi, je tenais le coup
Et si c'Ă©tait lĂ -bas qu'on entendait mes peines
Et si c'était comme ça que la vie est plus belle
Comment c'est chez toi, mon frĂšre ?
Pas si différent, mon frÚre
Je t'aime, mĂȘme si j'en ai pas l'air
Mais c'est mieux quand t'es lĂ
Beaucoup mieux quand t'es lĂ , mon frĂšre
Comment c'est chez toi, mon frĂšre ?
Pas si différent, mon frÚre
Je t'aime, mĂȘme si j'en ai pas l'air
Mais c'est mieux quand t'es lĂ
Beaucoup mieux quand t'es lĂ , mon frĂšre
Tout nous séparait, ils diront que c'est pas vrai
Mais je t'aime quand mĂȘme
Tout nous séparait, ils diront que c'est pas vrai
Mais je t'aime
Comment c'est chez toi, mon frĂšre ?
Pas si différent, mon frÚre
Je t'aime, mĂȘme si j'en ai pas l'air
Mais c'est mieux quand t'es lĂ
Beaucoup mieux quand t'es lĂ , mon frĂšre
Comment c'est chez toi, mon frĂšre ?
Pas si différent, mon frÚre
Je t'aime, mĂȘme si j'en ai pas l'air
Mais c'est mieux quand t'es lĂ
Beaucoup mieux quand t'es lĂ , mon frĂšre
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