Elle aimait les Anglais, leur belles dentelles
Et leurs guitares irréelles
Devant les l'Ă©lectrophone elle s'habillait comme
Ă Brighton
Et je gardais dans mon journal intime
Mon rĂȘve ClĂ©mentine
Oh oh ohâŠâŠâŠâŠ
Souffrir de ce souvenir
Voilà le délice
Et je chante la douleur exquise
Du temps, du temps qui glisse
Nous allions sur le chemin de ronde
Refaire le monde, lĂ -haut
On se disait des choses idéales
Sous les Ă©toiles
On s'endormait serrés contre les filles
Jusqu'au malheur de l'aurore
Souffrir de ce souvenir
Voilà le délice
Et je chante la douleur exquise
Du temps, du temps qui glisse
Goodbye, goodbye, goodbye, goodbye
Goodbye, goodbye, goodbye, goodbye
Souffrir de ce souvenir
Voilà le délice.
Maintenant les années ont passé
Et j'ai des jours heureux
Mais il suffit d'un parfum d'un air et
Mon cĆur se serre
Parfois d'aller dans les rues d'avant
Tu sais mon cĆur se fend
Oh oh ohâŠâŠâŠâŠ
Souffrir de ce souvenir
Voilà le délice
Et je chante la douleur exquise
Du temps, du temps qui glisse
Goodbye, goodbye, goodbye, goodbye
Goodbye, goodbye, goodbye, goodbye
Souvent de fermer les yeux
De partir autrefois
Ăa me rend malheureux
Et heureux à la fois, comprenez-ça
Ainsi la joie et les sourires
Sont aux larmes mĂȘlĂ©s
Souffrir de ce souvenir
Voilà le délice
Et je chante la douleur exquise
Du temps, du temps qui glisse
Goodbye, goodbye, goodbye, goodbye
Goodbye, goodbye, goodbye, goodbye
Je chante la douleur exquise
Du temps, qui glisse
Goodbye, goodbye, goodbye, goodbye
Goodbye, goodbye, goodbye, goodbye
Souffrir de ce souvenir
Voilà le délice.
Vos commentaires
Aucun commentaire pour le moment