Sur le car-ferry de Portsmouth à Ouistreham
Les passagères ont du charme
Le vent s'est levé sur le pont du Saint-Michel
Quand elle est passée sur la pass’relle
En mer, au large, le vent est malhonnête
Roulis, tangage, il fait perdre la tête
Matelot navigue, il a roulé ses cordages
Puis il a porté les bagages
De la belle Anglaise et là dans la cabine
Il a dit « Je dois redescendre aux machines »
En mer, au large, le vent est malhonnête
Roulis, tangage, il fait perdre la tête
Le bateau pencha, elle tomba sur le matelas
Le matelot aima cela
Chanel numéro 5, le gasoil et le cambouis
Ils en sont restés tout éblouis
Adieu, adieu, leur amour a duré
Adieu, adieu, le temps d'une traversée
La mer, le large ont emporté le mousse
Roulis, tangage, de Ouistreham à Portsmouth
Voyageur, qui prenez le bateau
Ne dites jamais rien, même si on vous demande
De ces idylles anglo-normandes
Idylles anglo-normandes
Vos commentaires
Aucun commentaire pour le moment