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Paroles de la chanson «Le ZÚbre» par Alain Souchon

Car nos aurores ne sont que des aurores,
Et nos baisers, que des baisers,
Boule unique, voilĂ  notre amour,
Sous les coups d’pied du jour le jour.

Car tout s’use si l’on se serre,
Couche d’ozone et effet d’serre.
Il trouve, il trouve, pour ce souci,
Le drÎle de zÚbre, des facéties.
Tout valdinguer, changer sa bobine,
Pour retrouver l’aubĂ©pine,
Les cƓurs nous piquant d’avantage,
Changeons qui nous sommes,
Changeons d’ñge.

Car nos aurores ne sont que des aurores,
Et nos baisers, des baisers,
Les congĂšles de la vie provinciale
Prennent notre cƓur et nous l’rendent glacial.

Car tout s’use, si l’on se serre,
Couche d’ozone et effet d’serre.
Il se déguise et il te ment,
Il met la main sous tes vĂȘtements.
C’est quelqu’un d’autre et cette nouveautĂ©
Rend ta joue plus colorée.
C’est quelqu’un d’autre et pourtant c’est nous.
OĂč en sommes-nous? OĂč en sommes-nous?

Car tout s’use si l’on se serre,
Couche d’ozone et effet d’serre.
Il trouve, il trouve, pour ce souci,
Le drÎle de zÚbre, des facéties...

Un voilier qui s’en va d’ici
Et le zùbre s’efface ainsi :
Quelle drÎle de facétie...

 
Publié par 102012 4 5 7 le 17 mai 2022 à 7h01.
C'est Déjà ça (1993)
Chanteurs : Alain Souchon

Voir la vidéo de «Le ZÚbre»

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