Car nos aurores ne sont que des aurores,
Et nos baisers, que des baisers,
Boule unique, voilĂ notre amour,
Sous les coups dâpied du jour le jour.
Car tout sâuse si lâon se serre,
Couche dâozone et effet dâserre.
Il trouve, il trouve, pour ce souci,
Le drÎle de zÚbre, des facéties.
Tout valdinguer, changer sa bobine,
Pour retrouver lâaubĂ©pine,
Les cĆurs nous piquant dâavantage,
Changeons qui nous sommes,
Changeons dâĂąge.
Car nos aurores ne sont que des aurores,
Et nos baisers, des baisers,
Les congĂšles de la vie provinciale
Prennent notre cĆur et nous lârendent glacial.
Car tout sâuse, si lâon se serre,
Couche dâozone et effet dâserre.
Il se déguise et il te ment,
Il met la main sous tes vĂȘtements.
Câest quelquâun dâautre et cette nouveautĂ©
Rend ta joue plus colorée.
Câest quelquâun dâautre et pourtant câest nous.
OĂč en sommes-nous? OĂč en sommes-nous?
Car tout sâuse si lâon se serre,
Couche dâozone et effet dâserre.
Il trouve, il trouve, pour ce souci,
Le drÎle de zÚbre, des facéties...
Un voilier qui sâen va dâici
Et le zĂšbre sâefface ainsi :
Quelle drÎle de facétie...
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