Toutes les larmes que tu vois
Couler sur mon visage,
Elles reflètent mon histoire,
Paisible et sans rage.
Je suis un monstre, moi, Francoeur,
Je ne crains plus l’orage.
Je chante la vie et ses bonheurs
Jusqu’à ma dernière heure.
Ô rage, sans désespoir,
Je regarde Paris
Et je vous parie qu’un jour
Vous aussi vous chanterez
Ce qu’on appelle l’Amour.
C’est la fin de ce poème éphémère et sensible.
Où que j’aille,
Tu sais, Paname,
Je pars
L’amour dans l’âme.