L’Elfe et la forêt
Dans la forêt, les pins dansaient la valse
Les loup-garous et Dracula
Buvaient du vin et du coca
Tandis qu’un homme poussait la voix,
Tandis qu’un homme poussait la voix
Pour charmer les esprits, les écureuils et les chevreuils
Pour calmer les rancoeurs, gisant en des masques bantous
Pour apporter la pluie aussi chaude qu’une larme à l’œil
Pour la beauté des lieux qu’on ne voudrait quitter pour tout
Tout l’or du monde, valsent nos détresses,
Nos angoisses, nos passions,
Buvons du jus, mangeons fromages,
Ce sont de belles occupations
C’est encore de nos âges !
Pour affaiblir l’acier, un elfe donnait de la voix,
Attirant hommes et femmes dans le piège du corps à corps
Pour apporter le vent, léchant les lèvres, le vent se boit
Les branches chantaient aussi, c’étaient de merveilleux accords…
Et… et …et… d’un coup l’Elfe prit son envol, nous dit A…dieu…