Passe le temps à jamais se répand
Le bruit de la ville plus d'humeur tranquille
La facture des textures autour de moi
Rend le monde si irréel mais je presse le pas
Et je marche le plus vite le plus loin de tout ça
Je me perds le regard incertain
Au milieu des buildings tas de pierres étouffants
Mes idéaux les plus clairs je recherche le vent
Mais aucune issue possible je reste prisonnier
Impasse comme seul horizon chaîne pour seule idée
Destiné à une course que je ne peux gagner
Joueur volontaire désigné au futur erroné
Marche en rond comme un arriéré
À croire qu'un jour tes efforts seront récompensés
Tant de pensées vagues en ma tête et rien pour me guider
Homme qu'on a incarcéré pour le crime qu'il commettrait
Passe le temps à jamais se répand
Le bruit de la ville plus d'humeur tranquille
La facture des textures autour de moi
Rend le monde si irréel mais je presse le pas
Passe le temps à jamais se répand
Le bruit de la ville plus d'humeur tranquille
La facture des textures autour de moi
Rend le monde si irréel mais je presse le pas
Pont orchestre
Pas de répit un seul chemin choisi
Aucune autre alternative, une voie définitive
Un choix qui définit le restant de la vie
C'est ainsi, c'est ainsi, c'est ainsi
Regarde l'oiseau, mets-toi à réfléchir
Demande-lui là-haut ne vois-tu rien venir
Serait-il possible d'enlever ce rempart
Qui ce soir ne me laisse qu'un sale cafard
Passe le temps à jamais se répand
Le bruit de la ville plus d'humeur tranquille
La facture des textures autour de moi
Rend le monde si irréel mais je presse le pas
Passe le temps à jamais se répand
Le bruit de la ville plus d'humeur tranquille
La facture des textures autour de moi
Rend le monde si irréel mais je presse le pas
Fossiles dociles de la ville
Homme vils
Laissez-moi franchir les portes de l'exil
Les portes de l'exil
Les portes de l'exil...