Toc, toc, toc, y'a de la visite, who is it
Rafale dans l'oeilleton, je fais des gili-gili à mon UZI
J'ai trop la dalle, me diri-dirige vers la cuisine
Tu veux piloter le rap, passe les vitesses avec mon zizi
Tsik ca fait zizir, trop lourd pour ton système, ça grésille
Les rappeurs sont mes fans malgré leur Hip-hop-crisie
Les imitations Cainries, je te les rends crazy
J'ai une mine d'or au bout de mon crayon
J'ai pas besoin de creuser, pourquoi me crever, si mon son reste
Enterrez moi vite avant que mes couilles empestent
Je suis le vrai best, leur boule prend les pièces
The most wanted de la banlieue Sud-Est, banlieue Nord-Ouest
Je suis là pour tout briser, ramasse ton coeur baby
Que l'état me suce profond que je lui fasse recracher mes illets-bi
Plus rien ne me fait bander, que la France se rhabille
Je suis à Dubaï en train d'égorger l'avenir avec mes arbies
REFRAIN
Eh Yo la rue, n'entend qu'une seule voix
Que pour les vrais
Fais toi fraîche, ça n'arrive qu'une seule fois
Que pour les vrais
T'es pas comme nous, tu fais tout pour qu'on te voie
Que pour les vrais
Porte tes couilles, pas besoin de jouer les yous-voi
Que pour les vrais
Sur 10 hommes, tu trouveras que 2 bonhommes
Que pour les vrais
On assume, on a les épaules au summum
Que pour les vrais
On peut soulever la rue sans se briser la colonne
Que pour les vrais
On garde la foi, même au dessus des lois
Ils veulent me pousser à la faute mais je dois résister
Pour les vaillants Rohff doit continuer d'exister
Fais péter mon son dans le ste-po, ma parole est ferme
Comme ta peine et mon flow se renouvelle
Comme ton mandat de dépot, sors avec le corps et le cerveau musclé, moral en barbelé
Dis aux hassess de parler moins fort, c'est rien que des porte clefs, nique les
La rue n'entend qu'une seule voix, la vraie, ne s'écoute qu'entre vrais
On les saignent, ils nous craignent et nous aiment morts ou au frais
Mes ennemis pissent le sang, je suis tellement haut qu'ils rêvent de me descendre
Au lieu de me baiser la main, afin de tout baiser ensemble
Tu peux tout faire, un Juda n'est jamais reconnaissant
Je préfère un frère qui a le SIDA qu'une balance du même sang
C'est la hach, trop de mythos, que de la lèche, plus de classe
Ca sort les liasses, se met en hass, pour des crasseuses dégueulasses
Sois prêt pou le Gang Bang, à moi tout seul je suis un gang
Ma carrière c'est le Big bang, je suis plus vrai que des billets de banque
REFRAIN
C'est la fête des bonhommes, vide un chargeur vers le ciel
Frotte tes couilles contre un mur, ça doit faire des étincelles
Sors ton umbrella pour une pluie torrentielle
Après une bonne averse de sang, je glisse sur l'arc-en-ciel
Ne me parle plus de paix, elle s'est faite tuer par l'orgueil
L'oseille pinait l'amour le jour de son deuil
Je me suis déterré tout seul, ils ont mal cellé le cercueil
Tes rêves envient mes oeuvres, mon stylo crève le mauvais oeil
Que dieu me préserve de gaspiller mes balles, mes projets
Pas de protection rapprochée, je balance la tête et les crochets
Je peux te manger en une bouchée, te vider de ton sang en une gorgée
Tu peux te doucher à l'essence, te savonner avec un briquet
Prêt à purger, je renais de mes cendres, je rappe sur un bûcher
Mon étoile la grande Ourse, vends pas la peau de Hous avant de l'avoir épluchée
Je reprends du service, que des retours gagnants
Le rap de Ken le survivant pour les groupies des coups d'épée de d'Artagnan
Le bling-bling, la luxure rendent le hardcore tendre
La vague Rn'B, je la ferais mieux chanter dans sa chambre
En marge du Rap français, comme la rue du droit chemin
Super Héros de la délinquance, favori des anciens
REFRAIN