Adieu ma concubine
Mon joyau de platine
Ne m’oublie pas
Je repars pour l’amer
Tranquille et solitaire
J’irai au gré du vent
Narguer le cours du temps
Toucher du doigt
Quelques horizons clairs
Quelque abri de lumière
Comme tout paraît plus calme au loin
Adieu ma Mélusine
Mes rêves s’amarinent
Au fil de l’eau
Loin des parois de peine
Des cités souveraines
Et pour un peu d’azur
Cogner contre les murs
Mes idéaux
Ces palais de poussière
Forteresse éphémère
Comme tout paraît plus calme au loin
Comme tout paraît plus calme