Pardon d’avoir douté de ton amour
Imaginé ne vivre qu’au jour le jour
Pour les pensées quand elles sont loin de toi
Pardon pour celles que j’ai pu avoir quelques fois
Pardon pour les chagrins de mon passé
Pour cette main tendue que je n’ai pas su serrer
Pardon pour tous mes rires mêlés d’alcool
Pardon pour les fous rires et mes fous rires de folle
Alors c’est toi qui me quittes
On n’ira plus nulle part
Je te regarde prendre la fuite
Quand je suis déjà en retard
Je prends les heures maudites
Les « Je t’expliquerai plus tard »
Et je vivrai des nuits d’exil
Les blanches et puis les noires
Oui je prends tous les torts
Je mets tout sur mon compte
Mais c’est moi qui m’endors
Au bout du compte
Pardon de t’avoir vu en père formidable
Et d’avoir cru que c’était déjà pas mal
Pardon pour les mensonges souvent nuls
Les traits d’union et puis les points virgules
Pardon pour ces mots que je ne pensais pas
Pardon pour tous les hauts mais pardon pour les bas
Pour les regrets faciles le matin
Pardon pour les rêves que j’ai faits de nous pour rien
Alors c’est toi qui me quittes
On n’ira plus nulle part
Je te regarde prendre la fuite
Quand je suis déjà en retard
Je prends les heures maudites
Les « Je t’expliquerai plus tard »
Et je vivrai des nuits d’exil
Les blanches et puis les noires
Oui je prends tous les torts
Je mets tout sur mon compte
Mais c’est moi qui m’endors
Au bout du compte
Alors c’est toi qui me quittes
On n’ira plus nulle part
Je te regarde prendre la fuite
Quand je suis déjà en retard
Je prends les heures maudites
Les « Je t’expliquerai plus tard »
Et je vivrai des nuits d’exil
Les blanches et puis les noires
Oui je prends tous les torts
Je mets tout sur mon compte
Mais c’est moi qui m’endors
Au bout du compte