J’ENVIE CE MONDE
( Jean-Baptiste Quenin- Robin Leduc / Robin Leduc)
La vie vient pour se perdre comme un petit rien
La vie danse et s’exerce pour se faire la main
Sur nous, nos ailes, nos plus beaux chagrins,
Quand tout recommence.
En silence
J’envie ce monde, là où plus rien ne s’écrit
J’envie ce monde, là où plus rien ne s’écrit
J’envie ce monde
Les murs rêvent et se bercent d’étreintes infinies
Les murs pleurent et s’épanchent d’étoiles mortes
Qui comme toutes larmes en vain ressemblent à un cri
Quand tout recommence
En silence
J’envie ce monde, là où plus rien ne s’écrit
J’envie ce monde, là où plus rien ne s’écrit
J’envie ce monde