Ha, j'ai fait l'amour sous cellophane
Parce que les fleurs se fanent
Lorsque l'automne entame
Sa ronde monotone
J' suis comme une ombre sous tes cils
Vagabond en dérive
Une larme dessine
Si ronde et monotone
Ha tu vouvoies moi
Hâtez vous, vois tu
Et si tu te dévoues
Au vent, des voiles et nous
A te faire la cour par télégramme
Attendre le signal
A l'heure où l'or enflamme
C'est la fin de l'automne...
... Ta robe
Ne m'étonne
Dérobe
Me façonne
Tandis que tout me fascine...
C'est fragile
Ha tu vouvoies moi
Hâtez vous, vois tu
Si de ma vie dévale
Le vent, des voiles et vous
Un jour viendra tu le sais bien
Les avions partent et les oiseaux reviennent
Ce jour viendra tu le sais bien
Dans chaque jeu de carte, quatre rois quatre reines...
Ha tu vouvoies moi
Hâtez vous, vois tu
Si la vie se dévoue
Au vent, des voiles et vous
Ha tu vouvoies moi
Hâtez vous, vois tu
Si tu vous voir nous nu
Au vent dévoile nous