BUFFALO-BAR
Buffalo-bar
Buffalo-bar
C’est un bistrot
Très rigolo
Et sans histoire
Ambiance unique
Y’a de la musique
Des belles pépés
Et de la bagarre
Buffalo-bar
Le type du bar
Qui sert à boire
A deux mètres vingt
Et les épaules
Comme une armoire
Y’a un billard
Et des gaillards
Qui marquent les points
Discutant le coup
A coup de pétard
Y’a un pianiste
Un vrai artiste
Mais qui ne sort surement pas
Du conservatoire
Il se déchaine
Se donne de la peine
Mais c’est en vain
On n’entend rien
Dans le tintamarre
Buffalo-bar
Il faut les voir
Ça crie, ça gueule
Dans le brouillard
Comme un cauchemar
Y’a de l’alcool
Un vrai pétrole
Mais chacun veut avoir sa part
Buffalo-bar
Pendant ce temps-là, y’a une bande qui s’amène
Venant tout droit du bistrot d’à côté,
Ils poussent la porte c’est une vrai aubaine
Enfin ce soir on va pouvoir s’amuser
Buffalo
Si par hasard,
Vous avez le noir
Et que vous vous trouvez un soir dans le quartier
Entrez, entrez !
Sans hésiter
Ça vous passera, vous pouvez croire
Au Buffalo-bar
Buffalo-bar
Buffalo-bar
Buffalo-bar
Buffalo-bar
Ceux du billard
Donnent le signal
De la bagarre
Obscurité
Dix chaises cassées
Deux types tués
On rigole bien
Et ça repart
La vamp du coin
En robe de strass
Entre les tables
En ondulant
Passe et repasse
Et les clients
Soudain tranquilles
Sont haletants
Car elle a tant
De sex-appeal
Mais le pianiste
Un vrai artiste
Est amoureux de la vamp et joue
Des chansons tristes
Alors un homme
D’une voix de rogomme
Crie « y’en a marre ! »
Et le fait taire
A coups de Luger
Sans se frapper
La belle pépé,
Descend le gars
D’un coup de bouteille
Sur le cigare
Nouvelle bagarre
Puis calme plat
Et c’est comme ça
Tous les soirs
Au Buffalo-bar
Pendant ce temps-là, y’a une bande qui s’amène
Venant tout droit du bistrot d’à côté,
Ils poussent la porte c’est une vrai aubaine
Enfin ce soir on va pouvoir s’amuser
Buffalo
Si par hasard,
Vous avez le noir
Et que vous vous trouvez un soir dans le quartier
Entrez, entrez !
Sans hésiter
Ça vous passera, vous pouvez croire
Au Buffalo-bar
Buffalo-bar
Buffalo-bar