C’ETAIT MON PETIT POTE
Tout de suite
Il m’a plu
Quand on s’est connu
Sur les bancs de la maternelle
Puis on a grandi
Un jour il m’a dit :
C’est toi que je trouve la plus belle
Ce jour là l’idée lui a pris
De devenir mon petit mari
C’était mon petit pote, mon copain
Mon frangin
Ah ! Nous deux on s’aimait bien
Il m’appelait idiote avec un air calin
Lorsque j’avais du chagrin
Quand on est gosse on a des peines
Que les grands jamais ne comprennent
Lui comprenait tout, même quand je ne disais rien
Mon petit pote, mon copain,
Mon frangin