Parlé pendant l’introduction : A Séville un galant vers le déclin du jour
A sa belle chantait ce doux refrain d’amour
R : C’est pour toi, Lola, ô ma brune
Que ce soir j'ai fait ce tango
En rêvant seul, sous la lune
Au son des guitares et des banjos.
Hélas, je n'ai pas de fortune
Pour pouvoir t'offrir des joyaux
Et c’est pourquoi, ô ma brune,
J'ai mis tout mon coeur dans ce tango
Je sais bien que les hommes t’admirent,
Je les vois rôder autour de toi,
Comme un aimant, tu les attires,
Et j’e, souffre malgré moi !
Je sais bien que certains te promettent
Des richesses, pour mieux te tenter.
Et pourtant moi, pauvre poète,
Dans l’espoir de te charmer.
R : C’est pour toi, Lola, ô ma brune
Que ce soir j'ai fait ce tango
En rêvant seul, sous la lune
Au son des guitares et des banjos.
Hélas, je n'ai pas de fortune
Pour pouvoir t'offrir des joyaux
Et c’est pourquoi, ô ma brune,
J'ai mis tout mon coeur dans ce tango
Je sais bien que tout ton être grise,
Que celui qui te tient dans ses bras
Est a jamais sous ton emprise,
Et qu'il ne se reprend pas.
Oui je sais tout cela, mais quand même
Contre moi, je voudrais te tenir
Car plus que tout, vois-tu, je t'aime....
Tant pis si je dois souffrir !
R : C’est pour toi, Lola, ô ma brune
Que ce soir j'ai fait ce tango
En rêvant seul, sous la lune
Au son des guitares et des banjos.
Hélas, je n'ai pas de fortune
Pour pouvoir t'offrir des joyaux
Et c’est pourquoi, ô ma brune,
J'ai mis tout mon coeur dans ce tango