A côté de nous c’est la fête, il y a des lumières partout
Qui se confondent avec un air, qui me surprendra toujours
Et encore avec nos repères, ont est frappé par des tambours
Qui nous cognent jusque dans la tête, tous pour un et un pour tous
Passer son temps à se connaître, se raconter nos mondes à nous
Jouer avec ses mystères, qui font parti d’un tout
Ou, se livrer corps et âmes sans perte, ne rien oublier surtout
Le temps de voir qu’on est un autre, le temps de croire aux autres
Pleurer ceux qui sont partir, mourir pour ceux qui sont ici
Au fond de nous rien a changé tu vois, on est toujours pareil je crois
Qu’il y a au dessus de nous, un ange qui s’occupe de tout
J’ai pas voulu faire pour le mieux, on s’ennuie quand on est heureux
Autant masquer son regard, que personne puisse nous voir
Pleurer d’amour ou de colère, d’avoir perdu un être cher
S’agripper à des mains, qui te trahissent à la fin
Tu vois rien a changé depuis que tu es prêt de moi.
A côté de nous c’est la guerre, il y a des lumières partout
J’ai appris à ne pas m’en faire, c’est faux je me soucie de tout
J’aimerais te parler sans barrière, te dire ce qui me rends fou
Ce qui me touche, qui m’exaspère, ce que j’aime plus que tout
Demandes moi tout ce que tu veux, je te raconterai en détail
Mes blessures, mes bonheurs, ce sont eux, qui me tiennent à flot quand je nage
Je veux passer des heures à deux, te parler de tout mes états