IMPASSE DES VERTUS
Impasse des vertus
Il est un bal perdu
Où tous les soirs s’en vont danser les cœurs impatiens d’aimer
L’orchestre avec douceur
Joue des valses en mineur
Qui font jusqu’au lever du jour
Rêver d’amour
Et sur cette air qui vient bercer (Derrière les rideaux fanés)
Les couples enlacés (Un soir j’ai cru trouver)
J’ai cru trouver par un beau soir (Dans le regard d’un beau garçon)
Mon plus ardent espoir… (L’espoir d’un doux frisson…)
Au fond de ses grands yeux (Le reste de la nuit)
Brillait un tendre aveu (Serrée tout contre lui)
Le grand bonheur, je l’ai connu (Le grand bonheur, je l’ai connu)
Impasse des vertus
Au fond d’un quartier solitaire
Lorsque descend la nuit
Le long des maisons sans lumière
Des ombres passent sans bruit
Impasse des vertus
Il est un bal perdu
Où tous les soirs s’en va rêver
Mon cœur déçu et blessé
L’orchestre avec douceur
Joue des valses en mineur
Qui font jusqu’au lever du jour
Pleurer d’amour
Et sur cet air qui vient bercer
Les couples enlacés
Mes souvenirs toute la nuit
Tournent à l’infini
Pour un instant trop court
Pour un refrain d’amour
Tout mon bonheur, je l’ai perdu
Impasse des vertus
Hélas mon amour éphémère (mais dans le matin triste et blême)
S’enfuit un beau matin (l’amour s’en est allé)
Je n’ai dans mon cœur solitaire (pour l’entendre dire : je t’aime)
Plus rien qu’un triste refrain (je lui avait tout donné)