J'ai des jours comme ça où les heures pèsent lourd sans raison à mes bras comme un compte à rebours, comme un courant d'air froid qui blanchit tout ce qui m'entoure et glisse sans moi.
J'ai des jours de croît où mon souffle est trop court pour danser avec toi, même pour te dire bonjour.
Si je savais pourquoi, il n'y aurait que des mots d'amour oui mais voilà.
Ca ira, tu sais que ça ira.
Tu sais ça me passera comme toujours même si j'appelle au secours, ça ira.
J'ai des jours hors-la-loi couleur gris de faubourg qui me font aller là bêtement sans détour.
Si on m'enlevait le poids qui m'empêche de faire demi-tour rien qu'une fois.
J'ai des jours où la foi disparaît sans recours.
Ces jours-là mon coeur bat mais les coups sont trop sourds.
J'ai besoin de tes bras, il n'y a plus que toi alentour encore une fois.
Ca ira, tu sais que ça ira.
Tu sais ça me passera.
Tu sais que ça ira.
Yeah, yeah, yeah
Yeah, yeah, yeah
Yeah, yeah, yeah
Yeah.
Ca ira, tu sais que ça ira.
Tu sais ça me passera.