DIS ! QUAND REVIENDRAS-TU ?
1. Voilà combien de jours, voilà combien de nuits...
Voilà combien de temps que tu es reparti !
Tu m'as dit ;
Cette fois, c'est le dernier voyage,
Pour nos coeurs déchirés, c'est le dernier naufrage.
Au printemps, tu verras, je serai de retour.
Le printemps, c'est joli, pour se parler d'amour :
(Version Femme : Je ne suis pas de cell's qui meurent de chagrin,)
Nous irons voir ensemble les jardins refleuris,
(Je n'ai pas la vertu des femmes de marins.)
Et déambulerons dans les rues de Paris !
REFRAIN
Dis !
Quand reviendras-tu ?
Dis ! au moins le sais-tu ?
Que tout le temps qui passe
Ne se rattrape guère...
Que tout le temps perdu
Ne se rattrape plus !
2. Le printemps s'est enfui depuis longtemps déjà,
Craquent les feuilles mortes, brûl'nt les feux de bois...
A voir Paris si beau en cette fin d'automne,
Soudain je m'alanguis, je rêve, je frissonne...
Je tangue, je chavire, et comme la rengaine ;
Je vais, je viens, je vire, je tourne, je me traîne...
(V.F. Je ne suis pas de cell's qui meurent de chagrin,)
Ton image me hante, je te parle tout bas...
(Je n'ai pas la vertu des femmes de marins.)
Et j'ai le mal d'amour et j'ai le mal de Toi !
Dis !
Quand reviendras-tu ?
Dis ! au moins le sais-tu ?
Que tout le temps qui passe
Ne se rattrape guère...
Que tout le temps perdu
Ne se rattrape plus !
3. J'ai beau t'aimer encor, j'ai beau t'aimer toujours.
J'ai beau n'aimer que toi, j'ai beau t'aimer d'amour...
Si tu ne comprends pas qu'il te faut revenir,
Je ferai de nous deux, mes plus beaux souvenirs...
Je reprendrai la rout', le Monde m'émerveill'.
J'irai me réchauffer à un autre Soleil...
(V.F. Je ne suis pas de cell's qui meurent de chagrin,)
Je ne suis pas de ceux qui meurent de chagrin...
(Je n'ai pas la ver-tu des femmes de marins.)
Je n'ai pas la vertu des Chevaliers anciens.
Dis !
Quand reviendras-tu ?
Dis ! au moins le sais-tu ?
Que tout le temps qui passe
Ne se rattrape guère...
Que tout le temps perdu
Ne se rattrape plus !