Je sais jamais si tu ris si
Tu ridiculises et délires
Nos regards, nos amours sans heures
Ou moindre heurt à attendrir
Si j'arrive à rivaliser
Pour l'or de rares avenirs
Je sais jamais si ta caresse
Est l'en-cas resté sans saveur
Un oubli, un geste à la place
Réservé à celle de ton coeur
Si je dois retrouver l'adresse
Des rendez-vous manqués moqueurs
Je voudrais m'asseoir avec toi
A la terrasse d'un café
Je voudrais m'essayer parfois
A vivre nos nuits de journée
Sans cache-cache maladroit
En virée contre Hélios entré
Même si le chasseur nous attrape
Si de loin d'éclairs il nous frappe
Souris le temps suspend son vol
Trois pages figées… puis s'envolent
Souris ses mots battent de l'aile
Trois pigeons flanchent et puis s'en veulent
Je sais jamais si tu t'appliques
A l'évoquer sans magnifique
L'autre contre qui tu me troques
Parce que les sentiments s'étriquent
Si je provoque en toi l'attaque
D'un coeur trinquant à contre-éthique
Je sais jamais s'il me dévoile
A sa vue si j'ai de l'éclat
Si la pensée de moi l'éveille
L'aveu de ma peau sous les doigts
Si à mon coeur il met des voiles
Y'a si peu d' "il" qui vole à moi
Je voudrais m'asseoir avec toi
A la terrasse d'un café
Je voudrais m'essayer parfois
A vivre nos nuits de journée
Sans cache-cache maladroit
En virée contre Hélios entré
Même si le chasseur nous attrape
Si de loin d'éclairs il nous frappe
Souris le temps suspend son vol
Trois pages figées… puis s'envolent
Souris ses mots battent de l'aile
Trois pigeons flanchent et puis s'en veulent
Je voudrais m'asseoir avec toi
A la terrasse d'un café
Je voudrais m'essayer parfois
A vivre nos nuits de journée
Sans cache-cache maladroit
En virée contre Hélios entré
Même si le chasseur nous attrape
Si de loin d'éclairs il nous frappe
Souris le temps suspend son vol
Trois pages figées… puis s'envolent
Souris ses mots battent de l'aile
Trois pigeons flanchent et puis s'en veulent
Je sais jamais, je sais jamais
Si tu voulais, si j'aimerais