J'aimerais écrire sur l'allégresse
Les vibrations d'un monde en liesse
Mais ici le bien et le mal
Sont indivisible où que j'aille
Je me méfie des hommes et de leurs dogmes
De toute certitude et même des idées
De toute doctrine et toute discipline
Car force est de constater
Que le sublime et l'obscène
L'amour et la haine sont indivisibles
Je reste pessimiste sur le sort qu'on s'est réservé
J'aimerais ne voir que les bons aspects
De la nature humaine mais l'avenir, le progrès
Riment avec détresse et flammes