Y’aurait-il ma douce
De l’orage dans l’air ?
Ote moi d’un doute
Touches-tu la terre ?
Le vent me rapporte
Tes mots de l’amer
Aurais-tu ma douce
Des secrets de fer ?
Souviens-toi ma douce
De tes nuits marocaines
Où trompant l’ennui
Tu te donnais sans peine
Tu te donnais sans peine
As-tu dans la nuit
Des souvenirs qui te brisent ?
Toi qui trahis tes rêves
Toi qui me méprises
Tu ne vois dans ta pénombre
Que des lumières grises
Fais de moi l’être immonde
Mais c’est toi que tu méprises
Toi que tu méprises…
Laisse-moi ma douce
Paver ton enfer
Tes souvenirs flous
Je vais les rendre clairs
C’est faute de mieux
Que tu choisis la colère
Ton fiel est un leurre
C’est moi que tu espères
Moi que tu espères
As-tu dans la nuit
Des souvenirs qui te brisent ?
Toi qui trahis tes rêves
Toi qui me méprises
Tu ne vois dans ta pénombre
Que des lumières grises
Fais de moi l’être immonde
Mais c’est toi que tu méprises
Toi que tu méprises…
Je te sais vide et fanée
Mes mots puissent te toucher
As-tu dans la nuit
Des souvenirs qui te brisent ?
Toi qui trahis tes rêves
Toi qui me méprises
Tu ne vois dans ta pénombre
Que des lumières grises
Fais de moi l’être immonde
Mais c’est toi que tu méprises
Toi que tu méprises…
Je n’entends rien ma douce
A tous ces billets de l’amer
A ces mots qui se traînent
Dans la boue plus bas que terre…
Y aurait-il …
Y aurait-il ma douce …
Y aurait-il ma douce
De l’orage dans l’air ?