Le temps coule
Le long de mes jours
Et rien n'en vient dévier le cours
Minute après minute
Imperceptible prison de velours
Quand plus rien ne trouve grâce à mes yeux
Le syndrome des réveils filandreux
Les symptômes : cafard et matins de peu
Le temps coule
L'ami tes beaux discours
N'aident ni ne me sont d'un grand secours
Sans ennui, quel ennui
Alors j'en sollicite le concours
Est-ce un sortilège ?
Oh, dites-moi mon Dieu
M'en sortirai-je ?
Est-ce les changements de saison
Ou les mauvais offices de quelque démon
Que ce blues ?
Quand plus rien ne trouve grâce à mes yeux
Le syndrome des réveils filandreux
Les symptômes : cafard et matins de peu
Quand plus rien ne trouve grâce à mes yeux
Le syndrome des réveils filandreux
Les symptômes : cafard et matins de peu