AMa, mon Ama douce, tu n'm’ avais pas dit pue
Pour faire bon ménage, fallait des couilles aussi !
Ama, mon Ama douce, je l’ai vu dans tes yeux
Que le plaisir facile de m’imaginer deux.
Yallah … !
Ama, Ama douce, tu racontais des fois
Que vous aviez dormi tous les deux dans les bois !
Ama, mon Ama douce, redis-le moi encore,
Quel dieu vous a bercés pour se croire aussi fort !
Yallah… !
Inspirée par le vent, toi tu savais y faire
Et qu’il ne reste rien sous les plaques d’égout !
Et tu disais souvent que même pendant la guerre
Pour mieux vivre l’enfer, un peu d’amour c’est tout !
Ama, oh ma douce, l’amour est ton linceul.
Moi souvent la famille, c’est des poings dans la gueule !
J’ai du mal à trouver au fin fond des étoiles,
Celle qui ferait briller les prunelles de ma femme !
Yallah… !