Tu sais que l’on se ressemble
Il semblerait que je tremble
A chaque fois qu’on ne te salue pas !
Tu vois en moi ma mignonne
Ton petit côté garçonne
Et ta dentelle ne regarde que moi !
Je distille tes larmes
Pour saouler de chagrin
Et toi tu bois mes paroles
Avant qu’on ne s’endommage
Renvoie-moi vite mon image
Que j’apprenne enfin
A ne plus dire putain !
Tes âneries que je singe
Font out de même bon ménage
C’est à tes lèvres que je me pends tu vois !
Si tes envies
Ont le parfum de ma vie
Allons cueillir quelques roses !
Tes fous rires disent que je t’aime
Même si je purge ta peine
A chaque fois qu’on ne te salue pas.