OPHÉLIE
Oh j'ai-me-rai tant me no-yer dans l'é-tang
Comm' O-phé-lie
Ou-bli-er le temps me lais-ser glis-ser
Sans pen-ser l'oubli
Lais-ser ce goût de cen-dres re-froi-dies
Et des-cen-dre dans la nuit
Les mé-andres in-con-nus - de l'a-mour - qui s'en-fuit
Mais j'ai-m'rai l'in-con-nu de l'im-pré-vu
Moi j'ai-me-rais - tant que tu m'ai-mes au-tant
Jour et - nuit qu'la belle O-phé-lie
Oh oui j'ai-me-rais tant que toi même tu m'aimes au-tant
Qu'cette pe-tite in-gé-nue dé-ri-vant tom-bée des nues
Frô-ler les né-nu-phars
Oh et tou-tes les plan-tes rares
Comme la blanche O-phé-lie
O-phé-lie
2 - Des traces de cent
Pour cent c'est là le sang
Comme celui d'Ophélie
Se ronger les sangs
A quoi bon les san-
Glots dans l'ennui
Oh j'aimerai tant
Que tu m'aimes autant
Que je t'aime moi-même
Et le temps
Qui de temps en temps
Efface le présent
Pour être le plus sûr
Du passé du futur
Moi j'aimerai tant
Que tu m'aimes autant
Jour et nuit
Que la belle Ophélie
Oh oui j'aimerai tant
Que toi-même tu m'aimes autant
Que cette petite ingénue
Dérivant tombées des nues
Frôler les nénuphars
Toutes les plantes rares
Comme la blanche Ophélie...
Ophélie