Loin, le printemps s'en va, n'oublie pas que j'ai si peur du froid.
Comme des hirondelles, j'improvise que j'ai besoin d'ailes.
Loin, plus près des altitudes, glisse en moi la folie des censures.
Comme un aigle blond, j'hypnotise ces stupides illusions.
Au secours, histoires d'amour, au secours.
Mes yeux se veulent sur vous.
J'ai le cœur qui flanche dans ce tourment.
Les nuits me dérangent sans vous.
Au secours, histoires d'amour.
Loin, sur des chemins qui fument dans la brume, je repeins ma rancune.
Comme un papillon, je survole l'océan des passions.
Au secours, histoires d'amour, au secours.
Mes yeux se veulent sur vous.
J'ai le coeur qui flanche dans ce tourment.
Les nuits me dérangent sans vous.
Au secours, histoires d'amour, au secours.
Mes yeux se veulent sur vous.
J'ai le cœur qui flanche dans ce tourment.
Les nuits me dérangent sans vous.
Au secours, histoires d'amour, au secours.
Mes yeux se veulent sur vous.
J'ai le coeur qui flanche dans ce tourment.
Les nuits me dérangent sans vous.
Au secours, histoires d'amour, au secours.
Mes yeux se veulent sur vous.
J'ai le coeur qui flanche dans ce tourment.
Les nuits me dérangent sans vous.