Des routes, des tourments,
Des phrases, des ratures,
Le dragon ton amant, conduit la voiture.
Des rêves détonnants
Et si à mesure nous prenions le temps
Oh comme avant
Je me glisse à ta place
Dévalent les espaces
Je me glisse à ta place
Oui, à ta place
Des frasques, des serments,
Des déesses, des rayures,
Le dragon ton amant, assure la doublure
Ton souffle indolent faibli dans l'azur.
Et sous l’auvent, il te faut conclure.
Je me glisse à ta place
Dévalent les espaces
Je me glisse à ta place
Oui, à ta place
Qu’y a-t-il à gagner, ici?
Qu’y a-t-il à gagner?
Il n'y a rien à gagner, tu dis :
"Il n'y a rien à gagner, tant pis!"