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Paroles officielles de la chanson «Nous Sommes Deux Femmes» : Cabadzi

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Paroles officielles de la chanson "Nous Sommes Deux Femmes"

NOUS SOMMES DEUX FEMMES

Pensées infectes dans leurs têtes
Ils voient partout bon an mal an de folles drag-queens en fête chez Peter pan
Et moi j’aimais comme il bougeait
J’aimais comme il fumait
Et puis y avait des flots de voitures au loin
Je voyais d’en haut comme il dansait
Petite ballerine sur les ponts d’or et l’infini
Alors qu’ici ils pensent petit
Qu’ils passent le temps
Qu’ils perdent leur temps
Qu’ils perdent le temps
Qu’ils fassent leur temps
La tendresse n’a pas de raison
Il me parlait y avait des rires
Je répondais sans réfléchir
Un doux marché de manque d’affection de cœurs d’occasion
Besoin chronique et permanent
Ce serait compris par un enfant

Nous étions 100 nous étions gais
Ils étaient 1000 c’est effrayant
Discours futiles
Tout comme la poule est folle
L’œuf inutile
Mais j’aimais comme il bougeait
J’aimais comme il chantait
Dansait pour nous sans garde fou
Qu’ils passent le temps
Qu’ils perdent leur temps
Qu’ils perdent le temps
Qu’ils fassent leur temps
Et tu tournais autour de moi
Petit ballet de mes émois
Un tableau noir
Un tableau blanc
Aussi timide qu’arrogant
Fiers Peter pan par tous les temps
Fiers Insolents pour très longtemps
Besoin chronique et permanent
Ce serait compris par un enfant

Ils ont le décor de l’idiotie
Tape 1 tape 2 tape 3
Choisissent l’amour comme on élit les rois
J’aimais comme il dansait
J’aimais comme il fumait
Je penserai loin de ces taudis
Mon beau danseur étoile des toits de tôles
Qu’ils passent le temps
Qu’ils perdent leur temps
Qu’ils perdent le temps
Qu’ils fassent leur temps
Le bonheur est sans douleur
Je te donne le mien
Mon ange gardien
Il en va des peurs comme des pains
Tu les multiplies pour rien
Fiers Peter pan par tous les temps
Fiers insolents pour très longtemps
Besoin chronique et permanent
Ce serait compris par un enfant

J’aimais comme il dansait
J’aimais comme il fumait
Nous sommes deux femmes
Ce sera pour toi ce sera pour moi
Tu seras le parfum du bout de mes doigts
Ne rien dire
Ne rien voir
Ce sera toujours un terrain de jeu plus noir et sans histoire
Qu’ils passent leur temps
Qu’ils perdent leur temps
Qu’ils perdent le temps
Qu’ils fassent leur temps
Nous écrirons des contes de fée
De pères en robes d’été
Montre-moi que j’ai tort
Y a bien une suite dehors
Fiers Peter pan par tous les temps
Fiers Insolents pour très longtemps
Besoin chronique et permanent
Ce serait compris par un enfant