Moi j'aimerais qu'on m'offre l'air d'une épaisse brume, et toi
Tu ne réconfortes le ciel que quand il pleut des étoiles
Ca fait tomber les masques
Ca fait tondre les cranes
Les abeilles fondent les états
Et ca fait fondre le désastre
Et j'ai fait pleurer ton mascara
C'est Sous une masse informe
Qu'est née cette mascarade
Passe l’information
J’te vois, c’est comme si la pluie décidait de remonter
Dans les nuages j’te vois c’est comme si le soleil voulait pas me voir
Je n’ai pas peur d’affronter la rage qui te démange
Mais qui se mange à coup de pleurs
Ça me fait évide-évidemment
Ce soir, j’ai pas l’envie d’ouvrir une 16 pour mon cœur
Je veux juste poser mon dos sur mon pieu lever les yeux
Qui me regardent dans le fond du miroir
Et qui me disent «T’as pas bonne mine »
Miroir, miroir mon beau miroir
Mais dis moi bien vite qui je désire
[Refrain]
J’aime les femmes j’aime les seins nus
Jamais drague sans aventure
Dans les vagues ma créature
S’y noie et j’aime les femmes
Dans ma tête, c’est pas rangé, sans pareil est cette beauté
Dans les airs c’est facile, sans les ailes c’est rapide
Sans passer par les violences, s’empresser d’aller vivre
Encense les plaisirs éphémères du passé, saisir le futur du pain sec
J’aiguise mes canines mais j’révise mes classiques
Détruire les valises sans salir les sourires
Saoulé des sons c’est sans compter sur son boule
Aimer le matin brun demain c’est sombre
Demain c’est sombre mais aujourd’hui
Des deux mains j’fais de l’ombre au bout du lit je ris
Aux éclats les filles se retrouvent en extase (en extase)
Bougez pas c’est fini quand j’épouserai la phase (-serai la phase)
[Refrain]
J’aime les femmes j’aime les seins nus
Jamais drague sans aventure
Dans les vagues ma créature
S’y noie et j’aime les femmes