J’ai pris des routes interdites
Où je me suis perdu cent fois,
Dépasser même des limites
Et défier tellement de lois,
Mais ça n’efface pas
La douleur d’un homme,
Et d’aventures voulues sans suite
Qui ne voyaient pas le matin
En amours courses poursuites
Qui ne vous mènent jamais loin,
Ca ne change en rien
La douleur d’un homme
C’est une femme qui vous retient
Parce qu’elle vous quitte avant la fin
Y’a qu’une femme à qui l’on pense
Les autres dorment
On sait d’avance
Y’a pas d’absence ni de manque qu’on remplace,
Y’a que des vides qu’on remplit,
Tellement de souvenirs inutiles qu’on entasse,
Mais juste un seul, que l’on poursuit.
J’ai cru en des trêves trop vite,
En des endroits sans mémoire
Sans fantôme qu’on ressuscite
Ni de fatalités à croire,
Mais rien ne répare
La douleur d’un homme.
C’est une femme qui vous retient
Parce qu’elle vous quitte avant la fin
Y’a qu’une femme à qui l’on pense
Les autres dorment
On sait d’avance
Y’a pas d’absence ni de manque qu’on remplace,
Y’a que des vides qu’on remplit,
Tellement de souvenirs inutiles qu’on entasse,
Mais juste un seul,
Que l’on poursuit
Y’a pas d’absence ni de manque qu’on remplace,
Y’a que des vides qu’on remplit,
Tellement de souvenirs inutiles qu’on entasse,
Mais juste un seul,
Que l’on poursuit
Que l’on poursuit
Que l’on poursuit
Que l’on poursuit