Noir comme les taches sur mes devoirs
À chercher des échappatoires
Aux pensions et à leurs dortoirs
Aux pensions et à leurs dortoirs
Noir comme une perte de mémoire
Que l’on voudrait encore avoir,
Pour passer entre les cafards
Passer entre les cafards
Noir comme nos amours
Qui n’ont plus le goût du réglisse,
Comme l’encre d’un tatoo
Qui vient cacher les cicatrices,
Noir comme nos amours
Moi qui croyais en la justice,
Noir c’est la couleur de ton regard
Quand il me dit qu’il est trop tard,
Et m’interdit d’encore y croire
Et m’interdit d’encore y croire
Noir comme désir est un cauchemar
Où tout peut basculer un soir,
Qui peut prétendre juger l’histoire ?
Notre histoire
Juger l’histoire
Noir comme nos toujours
Qui en mort lentement finissent,
Comme un goût d’avant-dégoût,
Malgré encore des sacrifices
Noir comme nos toujours
Qui d’entre les doigts vous glissent,
Qui d’entre les doigts vous glissent,
Noir comme nos amours
Qui n’ont plus le goût du réglisse
Noir comme nos toujours
Qui d’entre les doigts vous glissent,
Noir comme nos amours
Qui n’ont plus le goût