Dans le sillage de son parfum
J’aurai pu la suivre des heures
Aujourd’hui elle me vole le mien
Quel bonheur
Quelques fils d’argent viennent trahir
L’insolence de ses cheveux noirs
Elle ne cherche plus à rajeunir
Quel plaisir
Y’a moins d’efforts sur la longueur
Elle laisse aller sa vraie nature
Ça m’boulverse toujours quand elle pleure
Ça c’est sûr
La huitième merveille du monde
C’est une comtesse aux pieds nus
Une déesse tombée des nues
C’est toutes les femmes en une seule femme
La huitième merveille du monde
C’est une comtesse aux pieds nus
Une déesse tombée des nues
C’est toutes les femmes en une seule femme
Et quelle femme
Cette femme
Les cinq étoiles s’ouvrir la porte
Dans les ambiances chaudes et feutrées
De nos caprices payer la note
J’ai aimé
Et puis tout envoyer valser
Les bonnes manières et le bitume
Courir les terres inachevées
Qu’elle parfume
Mais là où elle me désarçonne
Là où je tombe à ses genoux
C’est que plus rien ne l’impressionne
A part nous
La huitième merveille du monde
C’est une comtesse aux pieds nus
Une déesse tombée des nues
C’est toutes les femmes en une seule femme
La huitième merveille du monde
C’est une comtesse aux pieds nus
Une déesse tombée des nues
La puissance dans tout ce qu’elle sème
La huitième merveille du monde
C’est une comtesse aux pieds nus
Une déesse tombée des nues
La puissance dans tout ce qu’elle sème
Et cette femme
Cette femme
C’est la mienne