Je sais que, tout se perd
Que tu veux, prendre l’air
Je suis comme, une mer,
Sans une vague, à se taire
Je suis près de toi,
Tout ne s’oublie pas,
Et les choses qui finissent,
Ne sont que des esquisses
J’ai pourtant, laissé faire,
Tout le spleen, de l’hiver,
Impalpable, matière,
Qui se meurt, éphémère,
Et si l’on rejouait les scènes chaque fois,
Tu es là mais tu ne souris pas,
Et courber l’échine devant ces gars-là,
Ça tu vois, tu le regretteras
Je suis près de toi,
Tout ne s’oublie pas,
Et les choses qui finissent,
Ne sont que des esquisses