Y’a bien trop de monde dans les rues ce soir
Y’a plus trop de fringues au fond de mes tiroirs
Y’a des routes y’a des lumières, des gens pas très clairs,
Y’a des rêves et des devoirs, sous des réverbères,
Alors je laisse derrière moi, bien des adresses,
Des succès et des joies mais surtout des maladresses
Je flâne entre les verres qui sont de trop,
Les regards m’exaspèrent depuis le temps,
Que je veux prendre l’air car il le faut,
Folie je sais que tu me guettes et je t’attends
Defilent les lumières sur les voies rapides"
De mon coeur avide bien trop chahuté,
Demain, je m’effacerai.
Je m’échapperai comme un flirt sans lendemain,
Ou comme l’eau d’une rivière entre tes mains,"
Et on me cognera la face un vrai carnage,
Ca sera pour tous mes ratés tous mes naufrages.
Je flâne entre les verres qui sont de trop,
Les regards m’exaspèrent depuis le temps,
Que je veux prendre l’air car il le faut,
Folie je sais que tu me guettes et je t’attends
Je suis une ombre qui défile,"
Je suis une averse d’avril,"
Je fuis, aveuglé par les phares,"
Je file, il est bien trop tard.
Je flâne entre les verres qui sont de trop,
Les regards m’exaspèrent depuis le temps,
Que je veux prendre l’air car il le faut,
Folie je sais que tu me guettes et je t’attends