Quai de gare, hagards. L’instant des départs. A deux doigts de nulle part. Promis: se revoir. Coquines sur le quai, deux mouches butinent et percutent: « OK !… c’est lui, j’hallucine ! ».
Petites mouches s’affolent et l’ont reconnu, pots de colle, décollent,
Petites ingénues.
Petites mouches raffolent et sans retenue, pots de colle, se collent et
Se livrent nues.
Petites baby-dolls de leur -M- idole tubes « Limpidol » fixent leurs
Émotions.
Parfums de l’école, des amours bricoles, elles l’aiment et le collent en marge
Des brouillons.
Petites pattes de mouches s’activent à tout va, limpides elles font mouche et le touchent du doigt.
Petites touches habiles envoient en textos leur joie qu’elles distillent à d’autres illico.
Petites mouches maquillent leur coeur bondissant.
Déjà leurs yeux brillent d’un rêve éblouissant.
Par un coup du vent s’éparpillent en l’air, brins de filles légères à d’autres tourments.
Petites baby-dolls de leur -M- idole, tubes « Limpidol » fixent leurs émotions. Parfums de l’école, des amours bricoles, elles l’aiment et le collent en marge des brouillons…