Chaque rupture a son pan de vie
Qui maltraite le chantier des chantiers
On peut alors sortir les rictus et
Composer avec un nouveau voyage sans nom
Quand une âme est trempée
Elle finit par se rendre
Elle sera de nouveau prête
À bouffer sa horde d'étouffes-chrétiens
Elle voudras s'échapper du vivant
Mais rien n y fait, faut qu'ça heurte
Faut qu'ça endure, faut qu'ça sorte
On n'en a dompter des humeurs sauvages
Mais elles resteront la devant toi
Au fond de la salle assises a te jauger
Et au moindre faux pas, on se saluera
Comme des félins balafrés