Il faut toujours se dire adieu
Et devant les jardins déserts
Se regarder partir,
Ramasser le mouchoir qui tombe à terre
Et tourner le dos.
Il faut toujours se dire adieu,
Remettre son sort entre les mains de Dieu
Parce qu’on sait pas toujours
Quand l’avion se pose
Et qu’on a peur de perdre
Et peur de rater quelque chose
Parce qu’on sait pas toujours
Quand l’avion se pose
Et qu’on a peur de perdre
Et peur de rater quelque chose
Et qu’on a peur de perdre
Et peur de rater quelque chose.
Il faut toujours se dire adieu
Et devant les arbres mouillés,
Se regarder comme on est
Et tourner le dos.
Il faut toujours se dire adieu,
Remettre son sort entre les mains de Dieu
Parce qu’on sait pas toujours
Quand l’avion se pose
Et qu’on a peur de perdre
Et peur de rater quelque chose
Parce qu’on sait pas toujours
Quand l’avion se pose
Et qu’on a peur de perdre
Et peur de rater quelque chose
Et qu’on a peur de perdre
Et peur de rater quelque chose.
Il faut toujours se dire adieu,
Remettre son sort entre les mains de Dieu.
Il faut toujours se dire adieu.