Quand vient la nuit de dimanche à lundi
Je m’occupe, je trace des axes de symétrie
Je fais ça sur mon lit
Depuis tout petit
Oui quand l’ennui des dimanche m’envahit
Je m’agace et menace les veilleurs de nuit
J’efface à l’envie
Toutes mes autre vies
J’avais le choix
Mais j’ai décidé noir
J’en couvre les parois
De mes nuits blanches ivoires
Je ne dors toujours pas
Je ne dors toujours pas
Et demain est là
Derrière le rideau
La nuit sera immense
Par dépit, j’y ai élu résidence
Pourquoi demain est toujours en avance ?
Comment n’ai-je pas vu venir l’avalanche ?
J’ai pas fini voyage au bout de l’ennui
Trop occupé à rêver à mardi
Les mardi passés
Et celui qui suit
La symétrie c’est 2 semaines en une nuit
C’est croire encore que tout n’est pas écrit
Que rien, non plus rien
Ne s’oppose à l’ennui
J’ai fait le choix
J’aurai des idées noires
J’en couvre les parois
De mes nuits blanches ivoires
Je ne dors toujours pas
Je ne dors toujours pas
Et demain est là
Derrière le rideau
La nuit sera immense
Par dépit, j’y ai élu résidence
Pourquoi demain est toujours en avance ?
Comment n’ai-je pas vu venir l’avalanche ?