LE VENT DU LARGE
Allongé sur le sable les nuages silencieux
Déambule comme un cortège de fantôme
Leur forme libre de toute contrainte
Mes yeux se perdent à l’infini
Dans ce paysage sans frontière
Ou le bruit des vagues vient troubler cette harmonie
Libre, libre comme ses grains de sable
Virevoltant au milieu des dunes
À perte de vue
Et dans ce paysage sans frontière
Ton sourire vagabonde, le temps qui passe
Ne peut nous atteindre
Le sable encore chaud irrigue
Mon corps qui s’abandonne
Apaisé par le souffle du vent
Libre, libre comme ses oiseaux dans le ciel
Planant au dessus de la mer
À perte de vue
Et dans ces heures ou plus rien ne compte
Mes rêves de nouveau monde
Envahisse mon esprit
« Homme libre du chérira la mer »
Océan sans limite ou l’homme
Vient nourrir ses rêves de liberté
Libre, libre comme ses hommes sans port
Naviguant dans l’océan
À perte de vue