Le démon qui m’habite t’astique le cul
Le carreau désuet d’un carreau qui tient plus
Comme tes seins usés par mes mains maléfiques
Qui au fil des années ont ruiné ta plastique
Ah le démon qui m’habite
T’a aimé tellement vite, qu’il ne sait plus ton nom
Ah le démon qui m’habite
A préféré la fuite que demander pardon
Le démon qui m’habite a un curieux dessin
Le dessin de ma bite qui hérisse tes seins
Qui malgré mon bon grès a cédé la routine
Qui à côté de toi me fait lever matin
Ah le démon qui m’habite
T’a aimé tellement vite, qu’il ne sait plus ton nom
Ah le démon qui m’habite
A préféré la fuite que demander pardon
Le démon qui m’habite a un poil dans la main
Il ne se soucie guère de quoi est fait demain
A bien y regarder il est un peu léger
Et dès qu’il voit l’amour il fuit comme un gamin
Le démon qui m’habite a finit son mastic
Le carreau tout usé lui est tombé dessus
Comme il s’y attendait pas il s’est cassé la pipe
Cette pipe admirable qu’il ne reverra plus
Ah le démon qui m’habite
T’a aimé tellement vite, qu’il ne sait plus ton nom
Ah le démon qui m’habite
A préféré la fuite que demander pardon
Le démon qui m’habite a viré sa cutille
Il ne s’usera plus sur tes milles broutilles
Sur tes seins fatigués par les années qui passent
Il s’en va de ce pas voir le routier d’en face
Le démon qui m’habite s’est fait roulé dessus
A présent réalise tout ce qu’il a perdu
Et ses seins qui pendouillent et ses fesses bien molles
N’auront pas réussi à le changer en folle
Et ses fesse bien molles et ses seins qui pendouillent
N’auront pas réussi à le couvrir de rouille
Ah le démon qui m’habite
T’a aimé tellement vite, qu’il est devenu vieux
Ah le démon qui m’habite
Te souhaite bonne suite et te fais ses adieux