Ecoutez ! Ecoutez ! Le chant du Gevaudan !
L'esprit libéré de toutes inquiétudes, payant le prix de l'éternelle solitude,
Dont l'Esprit ivre d'espoir me donne la volonté de croire, de croire toujours,
Cette volonté grandit en Moi, de toujours vouloir tout entendre, de m'enivrer de la voix des vents.
Grandit en Moi encore comme soufflent ces vents.
On prétend que son souffle vient du ciel,
Qu'il s'enivre de danse et court entre les arbres, ivre fils de la nature
Celui qui fait hurler le Gevaudan, ivre de Colère,
Et dans l'azur, rapide comme un cavalier, souvent souffle dans les herbes folles.
Apporte-nous des cantiques, et les cloches des Eglises,
Avec Toi nous hurlerons ensemble au travers de la nuit pour appeler le jour nouveau.
Celui qui prête l'oreille à ce Poème, pourra briser les Enfers,
Celui qui mêle sa voix à celle des Arbres ne craint pas d'aller en Enfer.
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