(ouh ouh)...(ouh ouh)
Si l'on devait décrire le chagrin,
On dirait qu'ce n'est rien...
Ce n'est pas la défaite, le chagrin.
Ce n'est pas le destin...
C'est chaud, c'est le cœur gros, ça brûle dans un coin.
C'est l'enfance qui nous tombe des mains...
Quand on aura cent ans,
Le moindre chagrin ne serait caresses.
Encore brûlant, encore emmêlé de quelques jeunesses.
Et salé comme le vent...
(ouh ouh ouh ouh ouh ouh, ouh ouh ouh ouh)
Si l'on devait décrire le chagrin,
On dirait qu'c'était bien...
Ce n'est pas le naufrage, le chagrin.
C'est l'averse en chemin...
C'est doux, à nos genoux, ça creuse nos reins.
Ça réveille en larmes nos matins...
Mais quand on aura cent ans,
Le moindre chagrin nous ferait tendresse.
Encore tremblant, encore invoqué par quelques jeunesses,
Comme un sanglot ancien...
Je vais et je viens...
Comme si de rien
Sans toi, pourtant...
Perdu en chemin.
De nous il ne reste rien,
Rien qu'un drôle de chagrin...
(Pause instrumentale)...
Mais quand on aura cent ans,
Le moindre chagrin ne sera caresse.
Encore brûlant, encore emmêlé de quelques jeunesses...
On aura cent ans,
Le moindre chagrin nous fera tendresse.
Encore tremblant, encore envoûté par quelques jeunesses
Comme un sanglot ancien...
(ouh ouh...)
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