Facebook

 

Paroles de la chanson «Le Chant des Sirènes» par Fréro Delavega

Enfant des parcs, gamins des plages
Le vente menace les châteaux de sables
Façonnés de mes doigts

Le temps n'épargne personne, hélas
Les années passent l'écho s'évade
Sur la dune du Pyla

Au gré des saisons, des Photomatons
Je m'abandonne à ces lueurs d'autrefois
Au gré des saisons, des décisions
Je m'abandonne

Quand les souvenirs s'emmêlent
Les larmes me viennent
Et le chant des Sirènes me replonge en hiver
Oh mélancolie cruelle
Harmonie fluette
Euphorie solitaire

Combien de farces, combien de frasques
Combien de traces, combien de masques
Avons-nous laissé là-bas?

Poser les armes, prendre le large
Trouver le calme dans ce vacarme
Avant que je ne m'y noie

Au gré des saisons, des Photomatons
Je m'abandonne à ces lueurs d'autrefois
Au gré des saisons, des décisions
Je m'abandonne

Quand les souvenirs s'emmêlent
Les larmes me viennent
Et le chant des Sirènes me replonge en hiver
Oh mélancolie cruelle
Harmonie fluette
Euphorie solitaire

 
Publié par 5338 2 2 5 le 25 juillet 2014 à 23h13.
Fréro Delavega
Chanteurs : Fréro Delavega

Voir la vidéo de «Le Chant des Sirènes»

Dire «merci» pour cette traduction Corriger une erreur
 

Vos commentaires

Aucun commentaire pour le moment

Caractères restants : 1000