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Paroles de la chanson «HélÚne» par Julien Clerc

Le satin noir sur son teint blanc
Avoue peignoir que c’est troublant
Ho, ho
Avoue c’est troublant
Je noierais bien ses courtisans
Mais j’en prendrais pour 110 ans
Au moins
Au moins 110 ans

HĂ©lĂšne, je suis pas Verlaine
Mais j’ t’écris quand-mĂȘme
Que j’ t’aime HĂ©lĂšne

Laisse-moi devenir ton amant
Seul montagnard de tes Monts Blancs
Ho ho de tous tes Monts Blancs

HĂ©lĂšne
Je vais perdre haleine
Mais j’ te crie quand-mĂȘme
Que j’ t’aime HĂ©lĂšne

Tout San Francisco Bay voudrait tant que j’ m’en aille
J’en perds mon alphabet
J’aime tant la lire en braille

Si tu jettes pas tous ces Don Juan
Moi je retourne chez ma maman
Ho ho moi chez ma maman

HĂ©lĂšne
HĂ©lĂšne
Tout San Francisco Bay voudrait tant que j’ m’en aille
J’en perds mon alphabet
J’aime tant la lire en braille

Le savon noir sur ses seins blancs
Avoue baignoire que c’est troublant
Ho ho avoue c’est troublant

HĂ©lĂšne, je suis pas Verlaine
Mais j’ t’écris quand-mĂȘme
Que j’ t’aime HĂ©lĂšne

HĂ©lĂšne, je vais perdre haleine
Mais j’ te crie quand-mĂȘme
Que j’ t’aime HĂ©lĂšne

HĂ©lĂšne, je suis pas Verlaine
Mais j’ t’écris quand-mĂȘme
Que j’ t’aime HĂ©lĂšne

HĂ©lĂšne, je vais perdre haleine

 
Publié par 103308 4 5 7 le 17 mai 2013 à 9h07.
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Chanteurs : Julien Clerc

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