Et passe, passe, passe, passe, passe, passe les jours
Et rien, non rien, rien ne change sur le parcours
Se sont les mêmes pages qui défilent, les mêmes vers qu'on récite, le même vieux film que depuis 100 fois on rembobine
Et on s'accroche et on s'acharne, et on s'abîme et on se gâche et on s'épuise et on s'entame, on s'enlise et on s'éloigne
Et on s'accroche et on s'acharne, on se brise et on s'attarde, ne soyez pas si cons
(Refrain:)
Puisqu'on se fout de nous
Puisqu'on se fout de tout de nous
Puisqu'on a plus rien à se dire à part "Bonjour, Bonsoir Chéri"
Puisqu'on se fout de nous
Puisqu'on se fout de tout de nous
Puisqu'on a plus rien à se dire à part "Salut, ça va chéri ?"
Puisqu'on se fou de tout
Puisqu'on se fou de nous
Et passe, passe, passe, passe, passe, passe les jours
Comme un lointain souvenir la dernière fois qu'on s'est fait la cour
On s'épuise même plus, à chercher les reponses
On ne sais même plus quelle est la question
Et on s'accroche et on s'acharne, et on s'abîme et on se gâche et on s'épuise et on s'entame, on s'enlise et on s'éloigne
Et on s'accroche et on s'acharne, on se brise et on s'attarde, ne soyez pas si cons
(Refrain)
Soyons excessivement libre, intensément fou
Oui, excessivement libre, intensément fou
Puisqu'on se fout de nous,
Puissqu'on se fout de tout de nous
Puisqu'on on a plus rien à se dire
Puisqu'on se fout de nous,
Puissqu'on se fout de tout de nous
Puisqu'on on a plus rien à se dire
(Refrain)
Et on s'accroche et on s'acharne, et on s'abîme et on se gâche et on s'épuise et on s'entame, on s'enlise et on s'éloigne
Et on s'accroche et on s'acharne, on se brise et on s'attarde, ne soyez pas si cons
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