Dans cette chanson Archimède parle tout simplement du changement de saison.
Ainsi, l'hiver a été long ("Ca fait longtemps qu'on l'attend"), mais l'été commence à faire son apparition ("Est-ce que la donne aurait enfin changé ?").
Archimède en vente les mérites : on profite du beau temps ("Je m'allonge à l'avenant, des journées rallongées"), les gens sont de bonne humeur ("des passants énamourés et quiets"), on a des envies de vacances ("Respirer et fuir direction la grand bleue") et de liberté ("Débonnaire, j'irai bien divaguer, prendre l'air"). C'est notamment à l'époque des vacances qu'on envoie tout chier, le travail et les emmerdes ("Catapulter l'immense, fléau des laborieux").
Est-ce que la donne aurait enfin changé ?
Je m'allonge à l'avenant, des journées rallongées.
L'été répand son ciel étoilé,
au dessus des passants énamourés et quiets.
Ca fait longtemps qu'on l'attend,
ça longtemps qu'on l'enterre...
L'été revient !
Débonnaire, j'irai bien divaguer, prendre l'air
et les trains dévalaient enfin la grève
et demain je caracolerai tel un félin libertaire,
sur les toits parisiens libre comme l'air,
et les chiens me regarderont faire.
Prendre la vie comme elle vient,
prendre la vie comme elle est
Merde à l'hiver et merde aux envieux,
qui turbinent à la solde des rentiers vétilleux.
Respirer, fuir direction la Grand Bleue.
Catapulter l'immense, fléau des laborieux.
Ca fait longtemps qu'on l'attend,
ça longtemps qu'on en crève...
L'été revient !
Débonnaire, j'irai bien divaguer, prendre l'air
et les trains dévalaient enfin la grève
et demain je caracolerai tel un félin libertaire,
sur les toits parisiens libre comme l'air,
et les chiens me regarderont faire.
Prendre la vie comme elle vient,
prendre la vie comme elle est.
Prendre la vie comme elle vient,
prendre la vie comme elle est.
Prendre la vie comme elle vient,
prendre la vie comme elle est.
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