Como Camaron (Comme Camaron)
C'est supérieur à moi,
C'est la force qui m amène,
La pulsion que je maintiens
Avec l'obscurité, qui ont de sombre tes yeux noir,
Et qu'est ce que tu en dis du temps qui mettes tes clignements
Et qui m'amène dans cette rue d'amertume et de lamentation ?
(REFRAIN)
Ce que je sais, c'est que le sourire qui se dessine sur mon visage
ça à voir avec la brise qui ventile ton regard
Tellement doucement et tellement rapide
Tellement normal et tellement bizarre, moi je quitte la chemise comme Camaron
Tu m'arraches les entrailles, tu rampes sur moi comme une araignée
Tu te nourris de la sueur qui transpire sur les vitres de ma chambre
Et après dans la matinée je me réveille et j'ai plus d ailles
ça fait 10 heures que je dors et mon coussin est trempé
ça a était un rêve très réel et très profond, tes yeux n'ont pas de propriétaire car ils ne sont pas de ce monde
Et je ne veux pas te regarder,
Mais je ferme les yeux et je te vois, je te vois partout, dans chaque photo, dans chaque miroir,
Dans le mur du métro, dans les yeux des gens et dans les soupes les plus chaudes, fou, je suis en train de devenir
(REFRAIN)
Et des fois je me trompe, je sonne chez ta voisine, celle du 2 ième qui vends pas mal
Et des fois je t attends dans le bar du coin avec le regard fixé sur ta porte
Et des fois je mange d'une bouchée, le monde
Et des fois je te sens et des fois je t allonge, des fois je te lis un baiser dans tes lèvres mais comme je n ose pas je prends peur et je pars
(REFRAIN)
...
Vos commentaires
Aucun commentaire pour le moment